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Tant que les lions n'auront pas d'historiens, les histoires de chasse tourneront à la gloire du chasseur - Le mensonge se lève très tôt mais la vérité finit par le rattraper - Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage

jeudi 27 janvier 2011

Le site israélien dédié à la lutte contre le terrorisme craint des connexions avec "Aqmi" dans la zone rebelle de la Côte d'Ivoire

Lu ici : "Le site israélien dédié à la lutte contre le terrorisme diffuse à l’attention des israéliens souhaitant se rendre à l’étranger des recommandations, avertissements et mises en gardes diverses. A la rubrique Côte d’Ivoire, le «National Security Council» (ici), affiche ainsi depuis quelque temps une alerte orange, à savoir une «menace concrète élevée». Il s’agit de l’avant dernier niveau sur l’échelle de danger élaborée par le Bureau du Premier Ministre. La raison invoquée ? «Al Qaïda au Maghreb» désignée en France sous le terme «AQMI».

La mise en garde porte sur des risques d’enlèvements par l’organisation terroriste active dans la région y compris désormais en Côte d’Ivoire. Les ressortissants israéliens sont fermement invités à éviter toute visite ou séjour dans ce pays. L’avertissement vaut pour deux autres pays frontaliers à savoir : le Burkina Faso et le Mali. Le Libéria, la Guinée et le Ghana sont pour l’instant considérés comme exempts de risques.

Le site du Cridem, «Carrefour de la République Islamique de Mauritanie» (ici) bien informé sur la situation dans la région donnait déjà en juillet dernier l’éclairage suivant :

«La Côte d’Ivoire dispose de plus de 800 km de frontière, avec deux pays, notamment, le Mali et le Burkina-Faso, bases arrières d’Al-Quaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Dès lors, elle est concernée directement par le sort réservé à la région sahélo-saharienne par la nébuleuse Aqmi... Le contrôle du nord de la Côte d’Ivoire, occupé par une rébellion, échappe totalement au pouvoir d’Abidjan. Ici, certains chefs de guerre, impliqués, généralement dans des trafics en tout genre et des réseaux de crimes organisés, se sont donné des pseudonymes assez évocateurs faisant référence à Ben Laden et Al Qaïda... Des connexions sont à craindre à cause de la vulnérabilité du pays dans sa partie septentrionale... Le nord musulman est devenu une tanière, pour ne pas dire un refuge des criminels de tout acabit. Cette partie du pays pourrait donc être une terre fertile où peut pousser ou prospérer, facilement, les thèses d’Al-Quaïda. Plusieurs Occidentaux dont des Français avaient été kidnappés ces derniers mois dans le Sahel avant d’être acheminés dans le nord du Mali. Il est donc à craindre un effet domino, pour ne pas dire une contagion d’un pays à un autre. De ce point de vue, la Côte d’Ivoire est concernée directement»."

Source ici.

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