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Tant que les lions n'auront pas d'historiens, les histoires de chasse tourneront à la gloire du chasseur - Le mensonge se lève très tôt mais la vérité finit par le rattraper - Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage

mercredi 11 mai 2011

Après le boulanger, le boucher

"Côte d’Ivoire : Plusieurs organisations internationales lèvent la voix contre la boucherie des hommes de Ouattara"


"Selon des sources bien introduites, suite à la découverte de 68 corps dans un charnier à Yopougon, l’ONU, pour couvrir les actes que commettent chaque jour les bandits armés de Ouattara, veut imputer ces tueries et autres massacres à ceux qu’ils appellent milices et au camp du Président Gbagbo", indique Wikilibre :

"ABIDJAN — Plusieurs organisations internationales lèvent la voix contre ce que l’on appelle la boucherie à la sauvagière.


Fosses communes en Cote d'Ivoire

Les organisations de défense des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire qui ne veulent pas se faire complices de ce qui se passe à Abidjan ces temps-ci ont crié leur indignation suite aux découvertes successives de plusieurs cadavres enfouis dans des fosses communes à Yopougon (quartier pro-Gbagbo d’Abidjan).

Le président de l’une de ces organisations qui n’est autre que le Mouvement ivoirien des droits humains (MIDH), Drissa Traoré, dit que son organisation est non seulement “indignée” mais aussi “dégoûtée” par de nombreux corps ensevelis sommairement.

Il va plus loin pour déclarer ceci : “nous sommes offusqués par toutes ces découvertes macabres et nous demandons que la lumière soit faite”.

Il se dit inquiet de nombreux cas de disparition de personnes au cours de la crise post-électorale, alors que l’on parle de réconciliation.

Il a évoqué qu’il y a eu beaucoup de personnes disparues à Yopougon, à Abobo (quartier pro-Ouattara d’Abidjan) et à Duékoué (ouest, 500 kms d’Abidjan). Aucun d’eux n’a encore été retrouvé et il craint qu’ils aient été tués, sans dire par qui.

Pour Drissa Traoré, la réconciliation prônée par le gouvernement Ouattara ne doit pas se faire sans justice.

Il estime que ce sont des actes graves qui nécessitent une enquête sérieuse pour que les coupables soient punis, tout en indiquant que cette enquête ne doit pas regarder dans une seule direction.

La ligue ivoirienne des droits de l’Homme (LIDHO) a également dénoncé les actes de “barbarie” perpétrés sur des citoyens et a fait état de la nécessité d’une enquête pour situer les responsabilités et sanctionner les coupables.

Selon des sources bien introduites, l’ONU, suite à la découverte de 68 corps dans un charnier à Yopougon, veut imputer ces tueries et autres massacres à ceux qu’ils appellent milices et au camp du Président Gbagbo pour couvrir les actes que commettent chaque jour les bandits armés de Ouattara.

[Le "soupçon" a été publié sans aucune preuve, concernant des faits qui datent du temps où les "FRCI" sont en plein boum de leurs exactions, au lendemain de la séquestration de Gbagbo, auquel le crime ne peut donc de toute façon pas être imputable.]

La source indique aussi que leurs enquêteurs [nommés par le camp Ouattara] biaisent en ce moment les interrogations des témoins et ils procèdent au tri des témoins pour ne pas jeter du discrédit sur leur rapport final [celui qu'ils se sont vu auto-confier par le pouvoir issu du renversement de Gbagbo du 11 avril].

Il faut noter aussi que d’autres charniers avaient été au préalable découverts à Abobo, quartier pro-Ouattara où la première bataille d’Abidjan a débuté, et à Duékoué, dans l’ouest du pays lors de la prise des lieux par les rebelles pro-Ouattara." [Massacres attribués sans ambiguité aux forces pro-Ouattara par les Ong sur place.]

Source: Wikilibre via infodabidjan.net

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