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Tant que les lions n'auront pas d'historiens, les histoires de chasse tourneront à la gloire du chasseur - Le mensonge se lève très tôt mais la vérité finit par le rattraper - Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage

À propos


« Le ministère français de la Défense a estimé mardi (30 nov. 2004) après-midi à "une vingtaine" le nombre d’Ivoiriens tués par l’armée française » !


Le 30 nov. 2004 sur BDO :

Une vingtaine !


« Le ministère français de la Défense a estimé mardi après-midi à "une vingtaine" le nombre d’Ivoiriens tués par l’armée française ». « Une vingtaine » ! Si ce n’est que ça, alors ! Décidément la France, par la voix de ses plus hautes autorités, s’enfonce toujours plus dans l’ignoble. Hier il était outrancier de parler de décapitations (aujourd’hui vous [permanent.nouvelobs.com - 30.11.04] montrez la photo d’un homme décapité, on a aussi vu la photo d’une jeune fille décapitée : le cardinal Agré et les autres témoins n’auraient donc pas menti sur ce qu’ils ont vu à la morgue d’Abidjan). Hier, selon Alliot-Marie, il était « outrancier » de la part de Gbagbo de signaler ces témoignages. Apparemment il n’est pas outrancier de l’avoir fait. Du négationnisme radical du début de la crise, le pouvoir français passe au négationnisme... modéré !
« Une vingtaine » (ignoble comptabilité de marchand d’huîtres) ! Mais du moment que « les Africains sont joyeux par nature » (Chirac) !




Depuis, mon blog Nonobs qui commençait par le post ci-dessus, a disparu... Ce précédent blog Nouvelobs.com ayant été auparavant sujet à censure "officielle", lorsque la "modération" Nobs était préalable et accompagnée d'un mail (c'était au temps fort de la crise franco-ivoirienne, et une approche défendant ce qui a fini par se savoir était fortement suspecte) ; ayant été ensuite plus abondamment censuré (et sans explications) lors du passage à la censure a posteriori (j'ai compris depuis que ledit blog avait dû être victime de lecteurs n'appréciant pas ma défense de la Côte d'Ivoire et agitant intempestivement le bouton "alerte" - qui alors ne requerrait pas d'explication sur le motif de l'alerte !). Ayant connu tout cela, je voyais finalement mon blog disparaître (février 2009) ! 

Après échanges de mails 
avec Netinoservice de "modération" de Nobs, puis avec CL du Nobs, très courtoise, on m’a expliqué qu'il s'était agi, au fond, d'un "bug"... (Ce blog "disparu" est entièrement reconstitué sur "Une autre histoire".J'ai donc cru pouvoir comprendre que rien ne s'opposait à une réouverture d'un blog Nobs. Après une vingtaine, ce serait "Une bourriche", mais la censure a recommencé"... Par précaution en regard desdits "bugs" toujours possibles, j'ai doté mon (mes) blog(s) Nobs d'un parallèle, "Bis repetita" - sage précaution, ai-je pu constater depuis : depuis janvier 2011, mon blog remplaçant "Une bourriche" (plus référencé sur Nobs), à savoir "Ter repetita", a été censuré/"beugué" à son tour. L'un dans l'autre, j'en suis passé sur Nobs jusqu'à "Quinquies", "Sexies" et "Septies repetita" !


Depuis ce 30 novembre 2004, on est passé, le sait-on, d'"une vingtaine" de morts à... Une bourriche ! 2004-2010/2011, bis repetita !

Depuis mars-avril 2011, "Bis repetita" a pris un sens imprévu et tragique avec la réédition, démultipliée quant à la violence, de la tentative de coup d'Etat direct de 2004, qui emboîtait déjà le pas aux rebelles en échec depuis 2002. Les tueries de civils dues aux bombardements franco-onusiens et les massacres de masse perpétrés par la rébellion, que, suite aux élections de 2010, émaillées de violence dans les zones occupées par la rébellion, puis truquées (quant au résultat "onusien", mais ayant été gagnées par Gbagbo, victoire ratifiée par le Conseil constitutionnel comme dans toute démocratie normale). Ces bombardements et massacres donnent aussi un sens terrible au titre "Une bourriche", démultiplication affreuse de "Une vingtaine"... Et quelques...



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Une autre histoire / "Une vingtaine" : de 2004 (Baouké / bombardement présumé - Abidjan / tirs français dans la ville) à 2007 (accords de Ouaga), etc. Avec retour sur 1999 / 2002 ("début" de la "crise")...

Bis repetita. Des débuts de la campagne "électorale" au coup d'Etat du 11 avril 2011, et autres considérations... Au lendemain du coup d'Etat du 11 avril 2011 jusqu'à juin-juillet 2011 : dictature instaurée dans la violence et exactions diverses...

Voir aussi  ICI  Et quelques...